miércoles, marzo 31, 2010

sábado, marzo 20, 2010

narcomex

democracias bajo fuego, México entre ellas

CRITICA FILOSOFICA PARA MANTENER LA VIDA
SABER Y PODER PARA MANTENERNOS LIBRES COMO
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sábado, enero 30, 2010

Derecho Petroleo Exxon Texaco Ecuador Amazonia

Los llamados Derechos Humanos tal como la ONU los ha propuesto en su Delaración Universal de 1948 ¿ son compatibles o no con los derechos realmente existentes ? Veamos un caso concreto,el de las comunidades de la región petrolera de Ecuador situada en la Amazonia del Ecuador
El libro que sugerimos para el estudio de la cuestión es de gran interés a mi juicio, para plantear la cuestión de los Derechos Humanos,in medias res, tal y como lo hace un sistema no idealista como el materialismo filosófico
Las palabras de la selva Exxon Texaco Derechos y Petroleo en Ecuador

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domingo, enero 24, 2010

MYTH on acapela.tv

Good Old Days on acapela.tv

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sábado, enero 23, 2010

ALTERGLOBALIZACIÓN EN EL PRESENTE Y ALGUNAS PERSPECTIVAS


LA CRISIS FINANCIERA Y LA CUMBRE DE COPENAGUE SOBRE EL CALENTAMIENTO CLIMÁTICO MARCAN EN GRAN MEDIDA EL RUMBO Y EL MOMENTO ACTUAL DE LOS MOVIMIENTOS ANTI GLOBALIZACION O ALTERMUNDIALISTAS, JUNTO CON EL CRECIENTE PAPEL DE CHINA,BRASIL,INDIA,ASÍ COMO LOS ESTADOS ANTI IMPERIALISTAS DE HISPANO AMERICA

EN ESTA BREVE PERO MUY SUSTANCIOSA RESEÑA SOBRE EL ASUNTO PODEMOS TENER ALGUNAS LINEAS BASICAS PARA EL ANALISIS CRITICO SOBRE LAS CUESTIONES IMPLICADAS
(disculpas por colgarlo en francés...)

SUSAN GEORGE SOBRE EL PRESENTE DE LA ALTERGLOBALIZACION
Jan 21 2010
Le problème du réchauffement de la planète cristallise aujourd’hui les revendications du mouvement et pourrait lui donner un second souffle.

Imposition des bonus des banquiers, éradication des paradis fiscaux, taxation des transactions financières. Ces propositions n’émanent pas de groupuscules radicaux, mais de certains dirigeants des pays les plus riches de la planète. Avec la crise économique, chacun reprend à son compte les idées lancées il y a des années par le mouvement antimondialisation. Non pas que Gordon Brown, Angela Merkel et Nicolas Sarkozy aient adhéré à ATTAC. Les gouvernements ne brûlent pas d’envie de renverser le système, ils entendent seulement le stabiliser. Calmer l’opinion publique et atténuer les conséquences les plus douloureuses de la crise. Mais où sont les opposants à la mondialisation – ou “altermondialistes”, comme ils préfèrent se faire appeler ? Le mouvement semblait s’être replié dans ses tranchées, en tout cas jusqu’au sommet de Copenhague sur le climat [en décembre dernier], où des milliers de militants ont participé aux manifestations de rue. Le drapeau vert est devenu la nouvelle bannière de ce conglomérat, qui, durant la décennie précédente, brandissait celle de la lutte contre la pauvreté.

Il y a dix ans [en novembre 1999], cet assemblage hétéroclite de militants d’extrême gauche, d’écologistes, de féministes, d’anticapitalistes et autres surprenaient le monde en organisant à Seattle une révolte de masse et en faisant échouer le lancement du cycle du millénaire de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Un appel au rassemblement lancé par Internet permit alors de réunir quelque 50 000 manifestants. Après ce succès soudain, des organisations du monde entier se rallièrent au mouvement. Vint ensuite la création du Forum social mondial, à Porto Alegre [en réponse au Forum économique mondial, organisé chaque année en janvier à Davos].

La mobilisation n’a cessé depuis de prendre de l’ampleur. En 2001, la pression populaire contraignit la Banque mondiale à annuler sa réunion à Barcelone et à la remplacer par une téléconférence. Entre sentiment de victoire, perplexité et impuissance, 300 000 manifestants envahirent tout de même les rues de la capitale catalane. Puis, un mois plus tard, ce fut Gênes. Le sommet du G8 marqua un tournant. Dans la cité italienne, 150 000 militants se heurtèrent à une répression policière d’une brutalité sans précédent. L’Italien Carlo Giuliani, abattu par un gendarme, fut la première victime de la rébellion. Pour Susan George, présidente d’honneur d’ATTAC France et auteure du Rapport Lugano [éd. de L’Aube, coll. “Poche essai”, 2006], la bible des altermondialistes, aller de sommet en sommet n’était pas une stratégie “viable à long terme”, surtout après la mort de Giuliani et les violences policières à Göteborg (Suède), à l’occasion du Conseil européen en 2001. “Ce n’était manifestement pas la bonne façon de poursuivre, explique-t-elle. Nous passions des mois à négocier avec la police qui, ensuite, violait ses promesses. Nous avons décidé de ne pas leur donner l’occasion de présenter les manifestations comme des démonstrations de violence.”

Pour ses détracteurs, toutefois, le mouvement manquait dès le départ de cohérence et faisait cohabiter des factions qui se retrouvaient parfois à défendre des points de vue opposés. “Une confédération floue de visions et d’idéologies politiques trop éloignées les unes des autres pour permettre une position commune”, c’est ainsi que le mouvement est décrit par Fredrik Erixon, directeur de l’European Center for International Political Economy [ECIPE, groupe de réflexion favorable au libre-échange], qui a son siège à Bruxelles. “Ses dirigeants étaient, pour l’essentiel, non seulement antimondialisation, mais aussi anticapitalistes, avec des objectifs très radicaux. Ils ne s’entendaient pas avec les organisations écologistes ni avec celles centrées sur la lutte contre la pauvreté.” Selon lui, les déceptions initiales préfiguraient les problèmes qu’allait connaître le mouvement par la suite.

Au sein du mouvement, explique Iolanda Fresnillo, de l’Observatorio de la Deuda en la Globalización [centre de recherches espagnol militant pour l’annulation de la dette du tiers-monde], on a commencé à avoir le sentiment que “l’ordre du jour se décidait ailleurs” et que les organisations devaient s’efforcer d’imposer le leur au lieu de se contenter de réagir aux rendez-vous fixés par la Banque mondiale, le FMI ou l’Union européenne. Mais la principale raison de l’affaiblissement des mouvements de rue était déjà en gestation à Seattle : “Même si on parvenait à faire annuler une réunion par-ci par-là, il n’y avait pas de résultats à long terme”, estime Eric Toussaint, membre du comité international du Forum social mondial. “Les gens se sont rendu compte qu’ils n’avaient guère de capacité d’influence. La volonté a faibli.”

Le mouvement vit “une étape de fragmentation”

D’après lui, cette déception s’est plus que jamais manifestée à la veille de la guerre en Irak. Le 15 février 2003, dans des dizaines de capitales européennes, des millions de personnes étaient descendues dans la rue pour protester contre l’administration Bush et ses alliés. “Nous n’avions jamais réussi à mobiliser autant de monde, se souvient Toussaint. Les Etats-Unis ont envahi l’Irak à peine un mois plus tard.” Ensuite, ce fut le silence. Malgré les grandes mobilisations, rien n’a changé.

Josep Maria Antentas, militant et coauteur avec Esther Vivas de Resistencias Globales [Résistances mondiales, Editorial Popular, 2009], considère que le mouvement vit aujourd’hui “une étape de fragmentation”. Les luttes locales se multiplient et la révolte se spécialise. Esther Vivas a décidé de se présenter aux élections européennes de juin 2009 comme tête de liste de la formation trotskiste espagnole Gauche anticapitaliste. “La résistance sur le terrain social ne suffit pas, explique-t-elle. Elle est fondamentale, mais nous ne pouvons pas en rester là. Il faut lutter sur tous les fronts et ne pas laisser le terrain politique et électoral aux partis qui le monopolisent actuellement.”

Le Forum social mondial, né en 2001 avec tout juste 12 000 participants, compte aujourd’hui 140 000 dé­légués. Salvatore Cannavo, membre du Forum social de Gênes, se montre critique à l’égard du processus de Porto Alegre. “Il est très lié aux grandes organisations. Le Forum n’a pas été capable d’intégrer les grands mouvements de protestation des étudiants européens en Espagne, en Italie, en France ou en Allemagne contre le processus de Bologne.”

Dix ans plus tard, la question s’impose : qu’a réellement obtenu le mouvement altermondialiste ? Si les plus optimistes estiment que leurs pressions ont permis d’atténuer la férocité du système capitaliste, Cannavo, lui, est catégorique : “Pas grand-chose, voire rien du tout, à vrai dire.” “De nombreux pays reprennent aujourd’hui certaines de nos revendications, mais ce sont des annonces, des intentions qui débouchent sur peu de réalisations”, ajoute Eric Toussaint. “Ils n’ont eu aucune influence sur l’ordre du jour politique, ajoute Fredrik Erixon. La crise a été si profonde et si dangereuse qu’il n’y avait pas place pour des points de vue idéologiques bon marché. Si l’on veut se faire entendre, il faut avoir quelque chose de sérieux à dire.” Selon lui, on ne peut même pas mettre au crédit des altermondialistes le débat sur la taxe Tobin ou sur les bonus des banquiers, qui résultent d’une crise qui a bien failli emporter le système financier. Pourtant, avec la récente montée en puissance du G20, beaucoup pensent que certains de ses membres, pays émergents comme l’Inde, la Chine et le Brésil, qui avaient rejoint les altermondialistes sur certaines de leurs revendications (sur la nécessité, notamment, d’ouvrir à de nouveaux pays les instances de décision des organismes internationaux), ont désormais le pouvoir d’appliquer des recettes plus sociales et plus égalitaires. “C’est vrai dans le cas du Brésil, mais ni pour la Chine ni pour l’Inde, nuance Eric Toussaint. Le gouvernement brésilien a intégré une partie de nos revendications, mais le président préfère encore se faire bien voir de Washington.”

La crise économique n’a pas attisé la révolte sociale

Josep Maria Antentas considère l’Amérique latine comme le grand vivier de l’altermondialisme. La révolution dite bolivarienne, avec Hugo Chávez au Venezuela, Evo Morales en Bolivie et Rafael Correa en Equateur, exerce une influence évidente, quoique controversée. La nationalisation des ressources naturelles, le discours anti-impérialiste, le refus du libre-échange et le rejet de la présence militaire américaine sur le continent sont le reflet de quelques-uns des principes du premier grand moment de ce mouvement de révolte : le soulèvement zapatiste au Mexique contre l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) entré en vigueur en janvier 1994. En ce début de xxie siècle, le climat se dessine comme le point de rencontre de toutes les organisations prônant un modèle économique alternatif. “C’est autour de cet axe que vont à l’avenir se retrouver les différents réseaux”, assure Paul Nicholson, l’un des coordinateurs du mouvement paysan international Vía Campesina. Autour du changement climatique se cristallisent de nombreuses questions. Celle du déséquilibre des rapports entre pays riches et pays pauvres est au cœur du mouvement altermondialiste depuis ses débuts. Si ce dernier a d’abord demandé l’annulation de la dette des Etats les plus défavorisés, il exige aujourd’hui que les mesures contre le changement climatique ne frappent pas ces pays plus durement que les autres, puisque ce sont ceux qui y ont le moins contribué.

La crise économique, contrairement à ce qu’on pouvait attendre, n’a pas attisé la révolte sociale. Les gouvernements se sont efforcés d’atténuer les effets de la crise par le biais de mesures destinées à stimuler l’économie et à soulager les catégories les plus fragiles. Mais tout cela aura une fin. Le besoin impérieux de réduire les déficits va conduire les Etats à s’en prendre aux classes populaires. “L’offensive contre ces catégories sociales va se durcir”, prédit Eric Toussaint. Les masses descendront-elles alors dans la rue pour protester contre les banquiers, les institutions internationales et les gouvernements libéraux avec la même force qu’à Seattle ou à Gênes ? Quoi qu’il en soit, souligne Susan George, il est trop tôt pour porter un jugement sur l’altermondialisme. “Le mouvement a à peine une décennie. Et dix ans, à l’échelle de l’Histoire, ce n’est rien.”


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lunes, enero 18, 2010

neoliberalismo y derechos laborales en Mexico El caso de la privatización de la Cia de Luz y Fuerza del Centro por decreto presidencial

Entrevista a cinco de las diez mujeres del Sindicato Mexicano de Electricistas en el décimo día de huelga de hambre en el plantón frente a las oficinas de la CFE.


FUENTE http://astillerotv.blogspot.com

domingo 11 de octubre de 2009
Decreto ilegal

Al Pueblo de México

Con la ilegalidad que ha distinguido a su gobierno, Felipe Calderón Hinojosa emitió un “decreto de
extinción” para Luz y Fuerza del Centro, y al mismo tiempo, para intentar liquidar a los
trabajadores electricistas que prestamos el servicio en esta empresa. Por instrucciones
presidenciales y con lujo de violencia, como en los mejores tiempos de Díaz Ordaz, la Policía
Federal Preventiva tomó por la fuerza, la noche del sábado 10 de octubre las instalaciones de
LyFC.

Los “argumentos centrales” del titular del ejecutivo para decretar la extinción de LyFC son, que
desde su creación este organismo descentralizado “no ha cesado de recibir transferencias
presupuestales cuantiosas” y que para el presente ejercicio dichas transferencias “serán del orden
de 41, 945 millones de pesos”

Asimismo, se afirma en el citado decreto, que uno de los problemas financieros de LyFC es el
porcentaje de pérdidas totales de energía, que según cálculos gubernamentales es de alrededor
del 30.6%, al mes de Junio de 2009. Como “solución” a esta situación el titular del ejecutivo
decreta la extinción de la empresa, “garantizando” el respeto a “los derechos laborales de los
trabajadores y jubilados de Luz y Fuerza del Centro”

Por la gravedad de este asunto, y por constituir un intento de golpe, no sólo a los trabajadores del
Sindicato Mexicano de Electricistas sino al Pueblo de México, quien es el verdadero propietario de
la Industria Eléctrica, nuestra organización, hace las siguientes precisiones:

LyFC, como parte del Sector Eléctrico Nacionalizado, atiende aproximadamente a más de seis
millones de usuarios en la zona central del país. Desde años atrás, el SME ha denunciado ante la
opinión pública, que de manera deliberada sucesivos gobiernos federales establecieron una
política de descapitalización de nuestra empresa, a través de diversas maniobras. Por ejemplo:

La Secretaría de Hacienda y Crédito Público, es quien está facultada por la Ley del Servicio Público
de Energía Eléctrica, para fijar y reestructurar los precios de las tarifas eléctricas. Hacienda ha
desarrollado una política de altos subsidios a los grandes empresarios, quienes utilizan el fluido
para hacer negocio y aumentar sus altísimas ganancias. Baste mencionar que en promedio, el
Kw/hora les cuesta a los grandes empresarios 88 centavos, mientras a los usuarios domésticos que
constituyen la mayoría de consumidores en nuestro país, se les vende a 97 centavos el Kw/hora.

Esta transferencia de valor a los grandes empresarios, ha descapitalizado gravemente a LyFC, dado
que a los grandes empresarios la energía eléctrica se les vende muy por debajo de su valor real, pudiéndolo pagar a sus precio real. Este hecho, muestra la posición pro empresarial de la
Secretaria de Hacienda, en detrimento de las finanzas de una empresa pública como lo es LyFC.

En relación a las transferencias presupuestales que ha recibido LyFC, afirmamos tajantemente que
estas no son destinadas a salarios y prestaciones de los trabajadores del SME, como asegura
mentirosamente Calderón. Estas transferencias se destinan para que LyFC, compre energía
eléctrica en bloque a Comisión Federal de Electricidad (CFE), dado que desde 1975 por decisión
gubernamental, no se ha permitido que nuestra empresa creciera en capacidad de generación, y
por lo tanto, que tengamos la necesidad de comprar energía en bloque a la CFE.

Ratificamos, que el precio de la energía eléctrica que la CFE vende a LyFC, es sumamente caro. De
acuerdo a los estados financieros de LyFC, lo que se ésta destinó para este rubro a julio de 2009,
es del orden de los $54, 797, 683.1 millones de pesos. Precisamente, las transferencias a LyFC a las
que hace alusión Calderón, es para el pago de la energía en bloque a CFE, y nunca, para el pago de
salarios y prestaciones de los trabajadores electricistas, como mentirosamente pretende hacer
creer el titular del ejecutivo.

La administración de Felipe Calderón en sus casi tres años de gobierno ha impactado
negativamente a la población mexicana: 5 millones 600 mil trabajadores ganan hasta un salario
mínimo, sin que con ello, puedan adquirir la canasta alimenticia básica; 19 millones de habitantes
se encuentran en pobreza alimentaria en nuestro país, es decir, ni destinando todo su ingreso
familiar, les alcanza para comer; en contraste, 10 familias pertenecen a la lista de Forbes, por ser
los hombres más ricos del planeta; el desempleo es creciente, ubicándolo algunos expertos en el
orden de los diez millones de desempleados; además se propone, de parte de la Secretaría de
Hacienda, aumentar los impuestos, y aplicar estos, a alimentos y medicinas.

Ahora, como cereza del pastel, Calderón pretende liquidar a LyFC, disponiendo de esta empresa
como si fuera propiedad del Gobierno Federal, cuando el párrafo sexto del artículo 27 de la
Constitución Política de los Estados Unidos Mexicanos establece que la Industria Eléctrica es
propiedad de la Nación. De manera inconstitucional, Calderón emite el decreto de extinción de
LyFC, sin consultar al Congreso de la Unión, quien tiene facultades para legislar en materia de
Energía Eléctrica, tal y como lo establece, el inciso a), numeral 5, fracción XXIX-A, del artículo 73 de
la Constitución Política de los Estados Unidos Mexicanos.

Lo que oculta Felipe Calderón es que, detrás de este decreto de extinción de LyFC, está el interés
de privatizar a la Industria Eléctrica Nacionalizada. Esta decisión está orquestada por empresas
trasnacionales, que como Iberdrola, Mitsubishi, Unión Fenosa, etc., ven a la Industria Eléctrica
como un apetecible banquete, y así coronar el avance que han tenido en materia de generación
eléctrica. A la fecha la Comisión Reguladora de Energía ha otorgado inconstitucionalmente a
particulares 772 permisos (a julio de 2009), lo que representa que se encuentra en manos del
capital privado cerca del 35 % de la capacidad instalada de generación, lo cual constituye en los
hechos, un proceso de privatización furtiva en materia de generación eléctrica, esos son los
hechos, no palabras.

Este es el panorama de nuestra Nación, generado por la aplicación de un modelo económico que
ha fracasado a nivel mundial y que el gobierno mexicano sigue aplicándolo por medio de la fuerza
y la represión. Por estas razones, el SME hace le siguiente llamado al pueblo de México:
Exigimos al Gobierno Federal la derogación del decreto por el que se extingue a Luz y Fuerza del
Centro, emitido por Calderón Hinojosa, el 11 de Octubre de 2009.

Asimismo, exigimos la devolución de todas las instalaciones de LyFC, a los trabajadores
agremiados al Sindicato Mexicano de Electricistas, tomadas de manera represiva e ilegal por la
Policía Federal Preventiva.

Convocamos a todas las organizaciones sociales, políticas, estudiantiles, populares, a los usuarios y
a la población en general, a rechazar la liquidación de LyFC, y en congruencia con ello, a Formar un
gran Frente Nacional la defensa de la Legalidad Constitucional, de la Soberanía Nacional y de los
Contratos Colectivos de Trabajo.

Responsabilizamos a Felipe Calderón, a Agustín Carstens Carstens, Secretario de Hacienda, a
Georgina Kessell, Secretaria de Energía y a Javier Lozano Alarcón, Secretario del Trabajo, de las
interrupciones y disturbios, que puedan ocasionarse en el suministro de energía eléctrica,
derivado de la toma de las instalaciones por el gobierno federal.

Invitamos a todos los mexicanos dignos y hartos de las políticas que sólo los han empobrecido, a
participar en la gran Jornada Nacional en defensa de la Soberanía Energética, el Patrimonio
Nacional, los Derechos de los Trabajadores y las Libertades Democráticas, que llevaremos a cabo
este próximo jueves 15 de Octubre, a partir de las 16 horas del Ángel de la independencia al
Zócalo.

¡La Patria no se vende, la Soberanía se defiende!
¡Unidad popular ante el neoliberalismo depredador!
¡Todos a defender a las empresas públicas, propiedad de la Nación!

Fraternalmente
“Por el derecho y la justicia del trabajador”
México, D.F., a 11 de Octubre de 2009.

COMITÉ CENTRAL
COMISIONES AUTÓNOMAS
SUBCOMITÉS DIVISIONALES
COMISIÓN DE TRABAJO

Responsable de la publicación Fernando Amezcua Castillo
Publicado por Astillero.TV en 22:49 5 comentarios

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domingo, enero 03, 2010

película ZEITGEIST el Espíritu de los tiempos , corporaciones y Poder


http://dotsub.com/view/7281f5dc-d4b1-4315-abb7-143becd34f49



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¿Derechos de los niños? la (seudo)democracia corrupta de Colombia


El video fue encontrado por mí en este sitio, MUY INTERESANTE paraguas contra la desinformacionhttp://www.nosemanylaprensadicellueve.org

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jueves, diciembre 31, 2009

Idea de causalidad en las teselas del Materialismo Filosófico

En las útlimas semanas del año 2009 el Proyecto de Filosofía en Español, desde la sede de la Fundación Gustavo Bueno, en la ciudad de Oviedo(España)nos ofrece una nueva sección llamada TESELAS, en las cuales Gustavo Bueno aporta exposiciones en formato video, acerca de conceptos y definiciones relevantes de la Teoría del Cierre Categorial


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domingo, diciembre 06, 2009

Europa de tradición platónico-aristotélica contra el Islam o ¿islamizar Europa por la Yihad?



Desde la Edad Media se vive en Europa la llamada en Historia de la Filosfía "disputa entre la fe y la razón": entre la razón filosófica nacida en Atenas en tiempos de Platón y Aristóteles y la fe o creencia en seres transcendentes, tal el llmado Dios del judaímo,cristianismo o mahometismo
Averroes el filósofo árabe y musulmán traductor al árabe de obras del filósofo de Estagira(Aristóteles) sostuvo al igual que el actual Islam que hay dos verdades y que pueden ser contradictoras pero siempre e debe someter la razón filosófica a la creencia dogmática.
De la religión judía surge la figura de Benito Espinoza quien ya en el siglo XVI tomaba parte por la razón, y una razón geométrica ( en lo cual coincide con Platón: nadie ntre en esta Academia sin conocer la ciencia de la geometría ).Su Etic demostrada según elorden geométrico no ha sido aún superada por ninguna escuela psicológica hasta hoy.
Del cristianismo surge la filosofía de Tomás de Aquino, cuyo magistral utilización de l argumentación de su maestro Aristóteles nos muestr aun en el presente caminos para resolver cuestiones realmente complejas.Pero parael deAquino no hay motivo paraque razón y fe se contrapongansino másbien podríanincluo ser parte de un zona de convergencia en algunos puntos cruciales:los llamados preámbulos de la fe, que en gran parte sonnada meno que los tres asunto básicos de la Filosofía europea , de cuño griego : Alma,Mundo,Dios, que por cierto el Materialismo Filosófic conecta digamos cn los tres géneros de materialidad, M1 M2 y M3

Los ciudadanos suizos han dicho en un referendum, que es un plebiscito popular plenamente democrático donde los haya que no se deben seguir construynedo en su territorio en su país en su Estado esos minaretes de una religión INTOLERANTE donde las haya
El modo en que Marruecos est´tratando aun mujr saharahui ,el modo en quemezquitas en Españaestán aplicando a l sombra de sus mezquitas la shariya o ley ilámica que ATENTA CONTRA LAS LEYES del Estado Español y su plan de agregdir y expandir vía Yihad su religión medievalmente enquistada en el más cerril de los fundamentalismo es algo que en toda Europa debe ser considerado muy seriamente

Fuente: DIARIO EL MUNDO http://www.elmundo.es/elmundo/2009/12/06/cronicasdesdeeuropa/1260087551.html
Hipócrita Turquía
FRAN MARTÍNEZ desde Estambul6 de diciembre de 2009.- El gobierno de Erdogan critica a Suiza cuando en Turquía es casi imposible construir un templo que no sea mezquita.

El Ministro de Asuntos Europeos pedía que el dinero se fuera con los minaretes, Erdogan hablaba de "creciente ola de racismo y extrema derecha en Europa" y el Presidente Gul de que "es una vergüenza para los suizos", pero ellos obviaban lo que pasa en su propio país: las minorías religiosas de Turquía siguen sin poder abrir templos.

En 2003, el actual gobierno levantó las reestricciones legales a la libertad religiosa para satisfacer a la UE, pero alevíes, católicos, judíos, protestanes y ortodoxos griegos y armenios encuentran múltiples barreras burocráticas que impiden en la práctica dicha libertad.

Desde entonces las leyes han ido mejorando: se ha sustituído el término 'mezquita' por 'lugar de culto' y es más fácil formar asociaciones, pero abrir nuevos templos o ser reconocido como 'Iglesia' es casi imposible; por este motivo la Iglesia Católica sigue sin estar reconocida como persona legal en Turquía.

"Existe una circular que exige que los templos cubran un mínimo de 2.500 metros cuadrados. Obviamente, esto crea enormes dificultades", explica el periodista Serkan Ocak en un reciente artículo del periódico Radikal, "lo mismo ocurre con los trabajos de restauración o los cambios arquitectónicos. De acuerdo con la ley, sólo se permite a las fundaciones realizar dicho trabajo. Así, recurriendo a estos tecnicismos, las reclamaciones nunca se resuelven", dice.

La República de Turquía fue fundada teniendo al nacionalismo turco y a la laicidad como fuente de legitimidad, pero en la práctica, se llevó a cabo una uniformización del resto de religiones con la corriente musulmana Sunni y del resto de étnias con la turca, reforzando así la integridad territorial y la identidad nacional, explica Cemal Karakas en su artículo Turkey: Islam and Laicism Between the Interests of State, Politics, and Society.

"Turquía decidió financiar y administrar su fe de forma exclusiva, lo que supuso la nacionacionalización de la corriente Sunni del Islam. Con esta postura el Estado no sólo abandonó su obligación de neutralidad religiosa sino que se hizo con el monopolio de interpretación y control de la fe, politizando el Islam desde arriba y homogeneizando las diferentes minorías, con un especial esfuerzo en sunnificar a los alevís", escribe Karakas.

En el reciente informe anual sobre Libertad Religiosa en el Mundo, del Departamento de Estado de EE.UU., reconoce que en Turquía "se bloquean los ascensos en las instituciones públicas por razón de la fe", y se dificulta la "celebración de ceremonias, el registro de asociaciones y la formación religiosa".

Los ejemplos se suceden, recientemente en Ankara el gobernador municipal denegó el permiso para una iglesia protestante argumentando de que "no había suficiente espacio en el barrio". Desde 2003, la Iglesia de la Salvación protestante ha solicitado permisos para la construcción de diez nuevos templos; Todavía no le han aprobado ninguno. La Iglesia Católica, por su parte, lleva años pidiendo la devolución de la iglesia de San Pablo en Tarso y la reapertura del seminario de Halki.

A pesar de que la Constitución turca es secular y garantiza teóricamente la libertad de culto, la corriente mayoritaria sunní sigue siendo favorecida y son muchos los que prefieren esconder su identidad religiosa por miedo a la discriminación, escribe Serkan Ocak. Desde 2002, el gobierno turco ha prometido al Vaticano y al Patriarcado Ortodoxo mayor libertad religiosa, pero de momento se quedan en promesas.

MAS DE LO MISMO CON EL ISLAM MILITANTE...CONTRA TODO QUIEN ELLOS CONSIDERAN INFIEL...o sea, te conviertes o te mataremos...SIEMPRE VOY A ELEGIR - Y A EXIGIR- LA RAZÓN,LA CAPACIDAD DE CRITICAR , SEGÚN LA TRADICIÓN GRIEGA DESDE PLATÓN Y SÓCRATES HASTA , TODAVÍA, EL RESENTE, AL MENOS EN EUROPA NO PERMITAMOS EL FANATISMO DE LA FE INTOLERANTE DE UN ISLAM ESENCIALMENTE YIHADISTA EN TIERRAS EUROPEAS

FUENTE DIARIO EL MUNDO http://www.elmundo.es/elmundo/2009/12/05/internacional/1260050870.html

ENTREVISTA | Saïda Keller-Messahli

'Los musulmanes nos equivocamos en nuestra estrategia de ser invisibles'

Saïda Keller-Messahli, fundadora del Foro por un Islam Progresista. | Vanessa Püntener
'Esconder la cabeza debajo del ala, sin mirar la realidad, es un error'
'No creo que los suizos sean más racistas que la gente de otros países'
Meritxell Mir |
Actualizado domingo 06/12/2009 05:04 horasDisminuye el tamaño del textoAumenta el tamaño del textoComentarios 14 Saïda Keller-Messahli nació en Túnez, en el seno de una familia de campesinos. A los siete años llegó a Suiza de la mano de una organización humanitaria. Acabados sus estudios de Filología francesa, se casó con un psiquiatra suizo y cristiano, con el que tuvo dos hijos a los que han educado de forma laica. Hace cinco años, Keller-Messahli fundó el Foro por un Islam Progresista, una organización marcada por el espíritu autocrítico.

Pregunta.– ¿Cómo se siente después del resultado en el referéndum suizo contra los minaretes?

Respuesta.– Mi primera reacción fue de incredulidad, pero después empecé a sentir una decepción que todavía me dura.

P.– ¿Cree que Suiza está experimentando una ola de racismo?

R.– No creo que los suizos sean más racistas o más xenófobos que la gente de otros países.

P.– ¿El voto muestra un fracaso de las políticas de integración?

R.– Sí. Hemos mantenido un diálogo muy educado, pero inocuo y poco sincero. Es como una pareja. Si uno, o los dos, no está realmente interesado en el mundo del otro, en sus necesidades, sus deseos y sus sueños, antes o después la relación acabará en separación porque ninguno se sentirá reconocido y cómodo.

P.– En Suiza hay diversas organizaciones musulmanas que no siempre están de acuerdo entre sí. ¿Se mantendrán unidos esta vez?

R.– Sí, aunque nuestra relación con el islam sea diferente, la posición en esto es la misma. Aun así, no hay que olvidar que ha habido muchos votantes musulmanes, tanto de derechas como de izquierdas, que han apoyado esta iniciativa para mostrar su rechazo a la opresión contra las mujeres y contra los no musulmanes que se hace en los países musulmanes.

P.– La comunidad musulmana de Suiza se caracteriza por su invisibilidad, en un intento de evitar el choque cultural con la población autóctona. ¿Se han equivocado?

R.– Sí, ha sido un error. Si miramos atrás, nos damos cuenta de que estábamos intentando tolerarnos los unos a los otros, pero que las cuestiones más importantes –identidad, códigos culturales, referencias históricas– no se han discutido. Quizás porque, emocionalmente hablando, son más difíciles.

P.– Esa misma invisibilidad marcó la campaña del referéndum...

R.– La estrategia de esconder la cabeza debajo del ala, sin mirar la realidad e intervenir, fue definitivamente equivocada.





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lunes, noviembre 30, 2009

memoria histórica,verdades históricas.España y la Guerra Civil


FUENTE http://www.laopinion.es/firmas/2009/11/27/memoria-historica-canarias/257389.html

Memoria Histórica en Canarias

El 12 de junio de 2008 el Parlamento de Canarias rechazaba una proposición no de ley socialista relativa a la financiación de las excavaciones de fosas de víctimas de la guerra civil en las islas




JOSÉ CARLOS GIL MARÍN El 12 de junio de 2008 el Parlamento de Canarias rechazaba una proposición no de ley socialista relativa a la financiación de las excavaciones de fosas y tumbas de víctimas de la guerra civil en las islas. Hablemos, pues, de Memoria Histórica.

La Memoria Histórica no es memoria ni es Historia. La memoria es patrimonio del yo froidiano en tanto que ser humano singularizado. La Historia es una ciencia que se enfrenta al estudio de los hechos humanos sociales pasados. Memoria e Historia separadas lo son todo. Juntas no son nada. El reciente descubrimiento de huesos humanos en el aljibe del templo masónico de Santa Cruz de Tenerife, fruto de esa confusión semántica, ha llevado a nuestros historiadores al enfrentamiento. Manuel de Paz sostiene que no son huesos de víctimas del franquismo, sino los propios de los rituales masónicos. García Luis, por el contrario, afirma que los mismos pueden ser restos humanos masacrados en 1936 por la barbarie fascista, incluso los del alcalde de Buenavista del Norte o los del Alcalde del ayuntamiento de Santa Cruz, fusilados en dichas cruentas fechas, que se creía podían estar en el Parque Nacional del Teide, en el llamado Bucio de Maja. Esto es lo que sucede cuando se politiza interesadamente la dignidad humana. El Fiscal Jefe de Andalucía, fruto de la extraña situación generada en torno a los restos del poeta García Lorca –la familia, único caso conocido en tal sentido, no quiere que se exhumen– nos dijo el pasado mes de junio que ya hay instrumentos para recuperar los restos de las víctimas desde la normativa reguladora del patrimonio histórico-arqueológico nacional. ¿Por qué se insiste en reiventar la tensión de una época que desde 1934 llevó al enfrentamiento entre las dos Españas? ¿Será para crear cortinas de humo y no hablar de la crisis económica...?

Recuerdo hace ya lustros un debate en la televisión pública española entre el catedrático de izquierdas Gustavo Bueno, y el líder histórico comunista Santiago Carrillo. Carrillo defendía la legitimidad democrática de la izquierda republicana desde 1931 a 1936, masacrada por la involución fascista. Bueno le respondió argumentativamente sobre el no reconocimiento por la izquierda en 1934 del triunfo democrático del centroderecha, y le habló de la quema de iglesias y del anarquismo revolucionario, de la revolución antirrepublicana de Asturias en 1934 o de la declaración unilateral de independencia de Cataluña ese mismo año. ¿Por qué no se puede ser objetivo ante la Historia? ¿Por qué no se puede criticar tanto el militarismo fascista de los golpistas del 36 como la deriva marxista y antirepublicana de los partidos de izquierdas desde 1934? Curiosamente, la Confederación Española de Derechas Autónomas fue la primera fuerza en ganar unas elecciones democráticas en España por sufragio universal, libre, igual, directo y secreto. En 1931, cuando la primera victoria del Frente Popular de izquierda revolucionaria, el Frente ganó sin el voto de la mujer aún legalizado, porque la izquierda socialista decía que era un voto involucionista culturalmente secuestrado por el caciquismo reaccionario... Hay palabras que queman en la boca de los que las pronuncia. Memoria sí. Historia sí. Pero no Memoria Histórica.


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viernes, noviembre 27, 2009

Antropología,Etnología y Utopía.Gustavo Bueno Materialismo Filosófico vs Levi-Strauss estructuralismo(s)

El Materialismo Filosófio organiza en Ovido dos mesas redondas sobre la obra de Levi Strauss,que son un material imprescindible para conocer el estructuralimo y la polémica que hubo entre este sistema y l marxismo en losaños 70 del siglo XX, pero que aún sigue opertivo en algunos sistemas que se mantiene como la obra de Foucault

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miércoles, noviembre 25, 2009

Gustavo Bueno: conferencia sobre Etica,Derecho,BIOETICA

En 2001 se publicaba el libro de Gustavo Bueno ¿Qué es la Bioética?Tenemos hora, en el otoño del 2009 ,a nuestra disposición una conferencia del autor de este libro sobre la temática


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domingo, noviembre 15, 2009

Conferencia de Noam Chomsky en la UNAM(2009).Un análisis crítico del momento presente del neoliberalismo global


ENLACE AL SITIO PARA BAJAR LA CONFERENCIA(en formato mp3)

Se trata de una conferencia que resulta de gran interés y utilidad tanto educativa como informativa,con la particularidad de poder escucharse en el idioma español, ya que al ser organizada por la Jornada y la UNAM se nos posibilita beneficarnos de la tradución simultánea



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viernes, noviembre 13, 2009

historia orewelliano kafliana sobre el Nobel de la Paz



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domingo, octubre 18, 2009

Dinámica de la crisis; de la decadencia de los EEUU a la desintegración del sistema global

conexión a la conferencia de Jorge Beinstein (pdf) en México DF(UNAM)sobre crisis y globalización (material IMPRESCINDIBLE, complementario del video y texto anteriores en este mismo blog)
http://suaed.politicas.unam.mx/noticias/beinstein_mexico2009.pdfCRITICA FILOSOFICA PARA MANTENER LA VIDA
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LA ACTUAL CRISIS INCLUYE FINANZAS, ENERGÍA, ALIMENTACIÓN Y MEDIO AMBIENTE


La crisis que estallaba en el 2008 y cuyos efectos no podemos aún determinar con claridad es no solamente de cuño financiero y económico sino que,a juicio de Jorge Beinstein,se trata de un crisis cuya estructura implica además de dichos aspectos, otros componentes vinculados a la producción capitalista, los cuales incluyen: crisis energética, crisis alimentaria y crisis ambiental
En la entrevista siguiente responde a algunos puntos básicos de sus tesis sobre la crisis
http://www.ecoportal.net/content/view/full/85949/
FUENTE http://www.ecoportal.net/content/view/full/85949/

La crisis es financiera, energética, alimentaria y ambiental. Entrevista a Jorge Beinstein
12-05-09 Por Fernando Krakowiak

Jorge Beinstein es uno de los pocos economistas que en pleno auge del modelo neoliberal caracterizó la globalización como la antesala de una crisis mundial. Afirma que el capitalismo se ha convertido en un sistema que destruye fuerzas productivas. Asegura que es un error trazar divisiones entre empresas productivas y financieras porque ambas están muy vinculadas. Y sentencia que luego de esta crisis no se volverá a la prosperidad pasada.

Jorge Beinstein es uno de los pocos economistas que en pleno auge del modelo neoliberal caracterizaron a la globalización como la antesala de una crisis mundial. Sus pronósticos fueron desestimados por una amplia mayoría de intelectuales conservadores y liberales, que entonces creyeron ver una reconversión superadora del viejo capitalismo keynesiano. Sin embargo, el desprestigio que las recetas neoclásicas experimentaron en América latina desde fines de los ’90 y el reciente colapso del sistema financiero internacional revalorizaron su voz en los círculos académicos. Hace pocos días estuvo en la Feria del Libro presentando su libro Crónica de la decadencia y Cash aprovechó para conversar con él sobre las perspectivas que se abren en el nuevo contexto.

¿Por qué la crisis actual debe ser vista como la expresión de la fase terminal del capitalismo y no como una crisis cíclica más dentro del sistema?

–Primero por su magnitud. Hasta ahora en los planes de salvataje se insertaron 8 billones de dólares cuando los ingresos fiscales de los países del G-7 son iguales a 10 billones. Se calcula que la masa especulativa global en este momento asciende a 1000 billones. Cuando fue la crisis de 1929, el 3 por ciento de los estadounidenses estaba vinculado con la especulación bursátil y en este momento es casi el 60 por ciento. Ahora bien, esta crisis también es diferente en términos cualitativos. No es sólo una crisis financiera sino también una crisis energética, alimentaria y ambiental.

Algunos analistas relativizan el supuesto carácter terminal de la crisis diciendo que el capitalismo está en crisis desde que surgió y sin embargo no para de expandirse.

–Siempre están los que piensan que el capitalismo llegó para quedarse. Es una utopía conservadora potenciada por un sistema que desde sus orígenes se las ingenió para superar todas las crisis de sobreproducción. El problema es que a partir de los ’70 se empiezan a manifestar elementos de crisis que no son sólo de sobreproducción sino también de subproducción, pese a que en los viejos debates se consideraba que estas crisis habían desaparecido junto con las civilizaciones anteriores al capitalismo.

¿Cómo es posible que al mismo tiempo haya una convergencia entre una crisis de sobreproducción y otra de subproducción?

-Lo que pasa es que la sucesión de crisis de sobreproducción, siempre superadas o al menos amortiguadas, fue generando elementos de depredación energética, ambiental y agrícola que están devorando al capitalismo. Las crisis de sobreproducción nos diferenciaban del precapitalismo porque antes solo se conocían los ciclos más largos, las crisis de civilización, pero resulta que al final no éramos tan originales y también terminamos teniendo crisis de subproducción. El capitalismo se fue convirtiendo en un sistema que destruye fuerzas productivas. En los próximos años va a haber menos energía, menos capacidad de producción industrial y menos alimentos por habitante.

La producción de alimentos creció de manera espectacular.

–El problema es el sistema social, porque en realidad lo que se está produciendo crecientemente es soja para los chanchos y maíz para elaborar combustible. Ese maíz ya no puede ser considerado un alimento. Es un insumo para la producción. A nivel mundial, la cantidad de alimentos por habitante disminuye. Además, el desarrollo agrícola de avanzada ha llegado a un nivel tal de exacerbación de la productividad que está destruyendo la tierra, el recurso de base para la producción agrícola. Al utilizar glifosato para cosechar soja se logra aumentar la productividad por hectárea, pero en diez años la productividad va a terminar siendo menor a la que se tenía cuando se empezó a utilizar ese insumo.

Si el maíz se destina a la producción de biocombustibles va a haber más energía.

–Se produce más energía de origen agrícola, pero cuando se calcula la totalidad de la producción energética (tomando en cuenta petróleo, gas, energía nuclear, solar y biocombustibles) y se lo divide por la cantidad de habitantes, se observa que desde fines de los `80 la producción de energía por habitante está empezando a caer. Usted me podría decir que la gente puede vivir mejor consumiendo mucha menos energía, pero eso significa pensar en otro modelo de sociedad. La Agencia Internacional de Energía, que siempre había negado el Peak-Oil, en 2005 distribuyó un borrador titulado “Posibles medidas ante un eventual colapso energético”. Allí proponen prácticamente la eliminación del transporte privado, la descentralización de la industria y la descentralización política y administrativa. Ahora bien, que alguien explique cómo haría para funcionar la sociedad capitalista actual con esas reformas.

En la última cumbre del G-20, los líderes mundiales afirmaron que ésta no es una crisis del capitalismo sino una crisis de origen financiero que se revierte con mayor regulación sobre los mercados.

–Es un error trazar una división entre el sector financiero y el productivo. Hace un cuarto de siglo, las 200 más grandes corporaciones estadounidenses hacían negocios financieros y los mismos representaban cerca del 10 por ciento de sus beneficios. En la actualidad, esos beneficios están entre el 40 y 45 por ciento. En los últimos treinta años, las empresas productivas llevaron adelante esa reconversión porque hubo una desaceleración de la demanda y los excedentes de capital se fueron destinando al sector financiero. Esa es la economía capitalista realmente existente. Por lo tanto, si se pone fin al negocio financiero, muchas empresas supuestamente pertenecientes al mundo productivo deberán cerrar sus puertas. General Motors está al borde de la quiebra, pero en los últimos años una de las formas que había encontrado para sobrevivir era la multiplicación de negocios financieros. Además, no solo está el problema de las empresas. La sociedad de consumo en Estados Unidos y Europa sólo fue posible con la financiarización de los consumidores, que sirvió para amortiguar la crisis de sobreproducción.

Se fue postergando la resolución de los problemas.

–Sí, pero las dificultades son cada vez mayores. Ahora están haciendo los salvatajes, pero el problema no es de liquidez sino de solvencia. Aunque la tasa de interés baje a cero la persona que ya está endeudada no va a querer seguir endeudándose para consumir. Lo que quiere es conseguir un trabajo seguro. Se llegó a una situación de sobrecarga de deudas para financiar las compras y también hay un límite en cuanto a la posesión de objetos. El problema de la industria automotriz se explica en parte por la saturación de automóviles que existe en los países ricos.

¿Esta situación se puede revertir?

–No hay cómo hacerlo. Lo que se hizo desde los ’70 hasta ahora fue simplemente amortiguar la crisis. Ahora bien, yo no estoy diciendo que esta situación lleve a un derrumbe inmediato del sistema. Es un proceso de decadencia que se puede amortiguar, pero ya la vieja prosperidad no vuelve.

¿Durante cuánto tiempo se puede amortiguar una crisis? Si el capitalismo puede amortiguar un desenlace terminal durante cien años es porque ese desenlace dejó de ser terminal.

–La degeneración parasitaria del capitalismo empezó hace casi un siglo. La dominación del capital financiero es de fines del siglo XIX. El capitalismo consiguió sobrevivir, pero lo hizo en condiciones cada vez peores. La etapa actual es una exacerbación de la decadencia, pero nadie sabe lo que puede pasar. La crisis propone y la cultura dispone.

La ventaja que tiene el sistema actual es que sus principios fundantes, como el individualismo, están muy arraigados en cultura moderna.

–Una de las características que han tenido las últimas décadas es que todo el planeta se hizo burgués, más allá de algunos enclaves. La civilización burguesa es una cultura planetaria. La cuestión es hasta qué punto esa cultura es viable. Puede haber una superación, pero también se puede entrar en decadencia.

En otros períodos históricos la crisis hizo pensar en la posibilidad de un cambio y hubo rebeliones populares generalizadas, pero ahora predomina la apatía.

–La magnitud de la crisis dejó a muchos ciudadanos paralizados. No hay que olvidar que el neoliberalismo provocó una desestructuración social terrible. La falta de reacción puede ser la expresión de una profunda decadencia cultural, pero también puede ser la calma que precede a la tormenta. El analista Zbigniew Brzezinski dejó de lado sus habituales reflexiones sobre política internacional y desde hace algún tiempo viene advirtiendo sobre el peligro de motines sociales en los Estados Unidos. Por ahora no hubo reacciones violentas, pero no se lo debe descartar.

En este contexto, ¿qué margen de acción tiene la gestión pública? ¿Da lo mismo Barack Obama que George Bush?

–La llegada de Obama refleja la crisis de la alternativa más radical del capitalismo, que era Bush. Los grandes partidos no pudieron imponer a sus candidatos tradicionales y terminó ganando un outsider de la política que encima es negro. Ahora bien, eso no significa que Obama implique un cambio de sistema. Está haciendo los mismos salvatajes que Bush y aumentó el gasto militar.

También les dio algunas señales a los sindicatos diciéndoles que ésta es su hora.

–Por ahora son sólo palabras porque los salvatajes son financieros. No hay redistribución del ingreso en los Estados Unidos. Los salvatajes tienen rostro keynesiano, pero están queriendo salvar lo que viene de la era neoliberal. Si quiere llevar adelante un verdadero programa keynesiano tampoco le va a ser fácil. Por ejemplo, si decide prohibir la importación de productos chinos, va a tener un conflicto muy importante con empresas estadounidenses que se radicaron en China para seguir siendo rentables. Con esto no quiero decir que no haya alternativas. Lo que digo es que las verdaderas alternativas no están dentro del sistema capitalista.

EL IMPACTO DE LA CRISIS INTERNACIONAL EN LA REGION

“Los gobiernos progresistas tendrán que definirse”

¿Qué impacto tendrá la crisis sobre Latinoamérica?

–Latinoamérica en muchos sentidos anticipó la crisis del neoliberalismo. En la región, ese modelo entró en crisis a fines de la década pasada y en los elencos gobernantes se puede ver una suerte de emergencia posneoliberal. A nivel de la economía no tanto porque ese progresismo latinoamericano pudo sostenerse y avanzar por la prosperidad mundial. Fue un antineoliberalismo que se apoyó paradójicamente en la última prosperidad del neoliberalismo que vivieron los países desarrollados. Ahora estos gobiernos progresistas están frente a una disyuntiva terrible. Si siguen como hasta ahora, la situación va a ser insostenible porque el mundo cambió. El auge exportador, que había permitido algunos avances sociales sin tocar mucho el sistema, terminó. En estos momentos, la situación se está poniendo grave porque hay una pelea muy fuerte por el ingreso y muchos de los gobiernos progresistas de la región van a tener que definirse. Van a tener que radicalizarse hacia la izquierda o la derecha se los va a terminar devorando. Hasta ahora expresaron más la crisis del neoliberalismo que la afirmación de un movimiento de transformación.

¿Las medidas que tomó el gobierno de Cristina Kirchner en respuesta a la crisis internacional en qué dirección van?

–Creo que en un principio estaban convencidos de que el sistema de equilibrio que mantuvieron, sobre todo durante la gestión de Néstor Kirchner, se podía prolongar durante mucho tiempo y terminaron reaccionando tarde. La nacionalización de las AFJP fue una medida correcta, pero debería haberse hecho antes y sobre la base de una gran concientización popular. Además, en el conflicto con la burguesía rural se equivocaron porque avanzaron con las retenciones móviles cuando los precios estaban por empezar a caer y encima terminaron permitiendo la reconstitución de la derecha. Ahora tienen por delante un escenario muy difícil porque no sólo son rechazados por las elites sino por amplios sectores de las capas medias.

¿La restauración conservadora es inevitable?

–Es cierto, pero es una derecha con cuerpo grande y cabeza chica porque no tiene proyecto. Cuando Carlos Menem llegó al poder tenía un proyecto porque el sistema de Europa del Este se estaba derrumbando y el neoliberalismo parecía dar respuestas para todo, pero ahora son bandidos sin proyecto. ¿Qué pueden hacer Cobos, De Narváez o Prat Gay? Lo primero que van a hacer es eliminar impuestos al sector rural y entonces no van a tener más alternativa que ajustar el gasto público y pedir dinero prestado. Eso es volver a los ‘90, pero no creo que sea tan fácil imponer esas recetas porque hubo un cambio en la sociedad.

¿Qué debería hacer el Gobierno para tratar de ponerle freno a esa avanzada?

–Debería nacionalizar los ferrocarriles y mejorar rápidamente su funcionamiento para ganar apoyo popular. También armar un ministerio de economía social y poner al sistema financiero en función de ese proyecto. Van a enfrentar resistencias, pero si no se hace nada van a terminar mal. Algunos dicen que no pueden avanzar porque no hay cuadros políticos suficientes, pero los cuadros políticos se forman cuando las cosas se van haciendo. No estoy diciendo que haya que transformar el ejercicio del poder en una aventura. Lo que digo es que hay que tomar la iniciativa. www.ecoportal.net

Nota:

Jorge Beinstein es economista egresado de la UBA y doctor de Estado en Ciencias Económicas de la Universidad de Franche Comté-Besançon, Francia. Fue director del Centro de Estudios Multidisciplinarios en Innovación Tecnológica y Prospectiva en la Universidad Nacional de La Plata y profesor titular de la cátedra “Historia económica y social general” en la Facultad de Ciencias Económicas de la UBA. También se desempeñó como docente e investigador en Maison des Sciences de l’Homme, Institut National Agronomique de Paris-Grignon, Universidad de Franche Comté-Besançon y Conservatoire National des Arts et Métiers. Actualmente es profesor titular de la Cátedra Libre Globalización y Crisis en la Facultad de Ciencias Sociales de la UBA, profesor del Doctorado en Ciencias Económicas de la Universidad Nacional de La Matanza y coordinador del Observatorio Internacional de la Crisis, organización que agrupa especialistas de Europa, Asia, América y Africa.

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sábado, octubre 17, 2009

la crisis económica mundial año 2008 y siguientes

la página del Archivo Chile nos aporta entre otros muchos materiales de interés y utilidad para el análisis crítico materialista del presente un dossier sobre la crisis económica actual cuya lectura recomendamos . Consta de ocho documentos o artículos que a mi juicio son imprescindiblespara buscar no solamente entender mejor losfenómenos de la crisis sino que pueden aportar vías para la acción política concreta
http://www.archivochile.com/carril_c/ccrecomendamos0000026a.pdfCRITICA FILOSOFICA PARA MANTENER LA VIDA
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